Joyeux anniversaire à notre partenaire luniverCel

Le 22 janvier dernier, nous souhaitions un joyeux anniversaire à notre partenaire luniverCel, avec qui nous avons co-organisé la Rencontre C’est décidé, je réduis mes déchets !.


Au départ projet de fin d’études de deux étudiantes de Nanterre, luniverCel a remporté le prix Jeune création d'entreprise, décerné par Paris and Co et IDEFI-CréaTIC, et est devenue une aventure entrepreneuriale. Aujourd’hui, le projet se construit peu à peu, toujours aux côtés de l’ETAL.
Sock Ying CHAN, engagée très tôt dans le développement de l’activité  de l'ETAL à l’université Paris Nanterre n’est autre que la fondatrice de l'univerCel. Au constat des convictions et valeurs communes à l’ETAL et luniverCel, c'est tout naturellement que ce partenariat s’est concrétisé par la co-organisation de l’événement.


Le troc et le don : pour un mode de consommation sans argent
Leur motivation est de favoriser le don, le troc les échanges sans argent autour des territoires.
Tout comme eux, nous croyons qu'un retour à un mode de consommation à la fois plus lent,  plus humain et solidaire est possible !
Nous pouvons changer le monde avec de petites choses, de petites actions, et de belles initiatives comme la leur, si on s'y met tous un peu !
Ce projet est une solution pour une consommation plus durable et responsable !


Favoriser le réemploi et l’emprunt
Au travers de leurs activités, luniverCel nous fournit ainsi une bonne partie du matériel nécessaire à la mise en place de la rencontre, du buffet et des ateliers pratiques.
Cela nous rend un grand service et nous permet de ne pas acheter, d'utiliser des objets qui ne dorment plus et qui seront encore réutilisés par la suite. On favorise le réemploi ! Avec cette démarche, on est en accord avec le zéro déchet et les valeurs de l'ETAL.  


Nos rendez-vous sur le campus de Nanterre
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LuniverCel vous donnait rendez-vous sur son stand pendant nos événements sur le campus de Nanterre, aux côtés de Zero Waste France.





Leurs actualités ? Ils préparent en ce moment même le lancement d’une phase de test.
Intéressé ? Rejoins-les sur les réseaux sociaux, deviens testeur ou reste informé tout simplement en s'abonnant à la newsletter directement via le site !
Ou encore mieux, deviens ambassadeur du projet sur ton territoire ?!
Il y en a pour tous les goûts et ils ne mordent pas.

C'est décidé, en 2017, je prends des résolutions écolos !


Chaque année on se fixe de bonnes résolutions. Et puis, avant même que le mois de janvier soit terminé, les mauvaises habitudes reviennent …
Et si, cette année, c’était différent ?
Prenons des engagements durables et positifs pour nous et la planète ! 
La clé, c’est nous. Soyons le changement ! Faisons notre part du colibri ! 

Voici les éco-gestes de 2017 !

Ces résolutions couvrent pas mal de champs, mais ce n’est évidemment pas exhaustif ! 

 1. Réduire nos déchets, emballages et autres produits à usage unique


« Le meilleur déchet est celui qui n’existe pas. »

Le jetable, c’est autant de plastiques et de composants rapidement inutilisables et donc produits pour un résultat presque nul, car il finit très vite à la poubelle. 

Un paquet de rasoirs jetables coûte peu cher mais son usage est unique, et le prix écologique plus grand que si l’on achète un réutilisable. Acheter des lingettes nettoyantes pour le visage ou la maison, c’est beaucoup de déchets et des lingettes qui ne se dégradent pas dans la nature. Les paquets de gâteaux avec emballage global et individuel pour conserver la fraîcheur, c’est autant de plastique en plus. Certains produits sont sur-emballés, avec un plastique et une boîte en carton. 

Voilà des exemples de choses que l’on peut acheter et qui sont mauvaises pour l’environnement… 

Certains font donc le pari de réduire leurs déchets et ordures ménagères, en préférant, refuser les emballages, acheter en vrac, et sinon dans des contenants recyclables et/ou réutilisables. Car acheter bio, c’est bien mais si le packaging est mauvais pour l’environnement, tout le bénéfice de la production biologique est perdu !

La production de déchets par personne est un vrai problème : nous en générons beaucoup trop et cela doit évoluer. 

Certaines personnes deviennent des reines et rois du zéro déchet, comme Mélanie du blog une vie sans gâchis - sempervivum, Julie du blog (Do It) For The Mermaids, Chloé du blog My Slow Life, Luizzati, La famille Zéro déchet, et bien d’autres… Leur démarche consiste en une philosophie du minimal et du zéro gaspillage : ils possèdent peu de choses, refusent les prospectus, échantillons et cadeaux publicitaires, favorisent le troc et l’achat d’occasion plutôt que le neuf, la réparation et la récupération et consomment des produits sans emballage qu’ils fabriquent souvent eux-mêmes. S’inspirer de cette démarche pour réduire sa production de déchets, c’est une résolution faisable, qui change vraiment quelque chose !



Plus de conseils sur le blog My Slow Life de Chloé.


2. Réduisons notre consommation de viande 


L’agriculture est le troisième secteur le plus émetteur de gaz à effet de serre, avec plus de 21 % des émissions totales de la France en 2012. La production et la consommation de viande pèsent lourd dans ce calcul, depuis la culture des aliments pour le bétail jusqu’à la consommation et le recyclage des contenants, en passant par le transport des animaux, la transformation des produits, leur emballage…

La viande rouge est plus émettrice que la viande blanche du fait de la taille des animaux.

Une manière de diminuer son empreinte carbone est de réduire voire d’arrêter de consommer de la viande. Il serait bon de réfléchir à la fréquence à laquelle on consomme de la viande, à nos besoins physiologiques et à se demander si le bénéfice de manger de la viande n’est pas annihilé par la qualité de celle-ci et ses coûts environnementaux de production. 

On peut compenser dans notre alimentation avec des protéines végétales (Soja, légumineuses, noix, algues,…).

Plus d'astuces sur le blog une vie sans gâchis - sempervivum de Mélanie.

3. Mangeons local et de saison grâce aux circuits courts, préférons les aliments bruts


Les AMAPs et les ruches sont des moyens simples de manger local et de découvrir des produits régionaux, tout en permettant une juste rémunération du producteur.

Il faut veiller à consommer au maximum des produits de saison. Dans le cas contraire, ces fruits et légumes sont cultivés sous serres chauffées ou importés, en avion ou en bateau, et ont un bilan carbone beaucoup plus conséquent. En janvier, oubliez les tomates et les fraises !

Acheter des ingrédients non transformés réduit l’impact écologique et l’emballage, tout comme cuisiner soi-même des produits de saison. 

Découvrons, l'ETAL, l'AMAP du campus de Nanterre Université ! 

4. Réalisons nous-même nos cosmétiques, utilisons des produits bio et solides 


Lorsque l’on fabrique soi-même ses cosmétiques, on utilise le plus souvent des produits bio. De plus, on les produit en juste quantité, évitant ainsi le gaspillage. Enfin, on les conserve dans des récipients lavables et réutilisables. Contrairement aux produits achetés dans le commerce, on n’a pas à jeter des dizaines de boites en carton, tube et flacons en plastique par an.

On peut commencer par des choses simples, comme se démaquiller à l’huile d’amande douce ou de jojoba pure et bio, soigner ses cheveux de noix de macadamia ou d’olive, s’appliquer du beurre de karité pur sur le corps.

Si on fait le choix de fabriquer soi-même ses produits, on choisit tous ses ingrédients, en connaissance de cause

On peut également opter pour des produits de beauté solides

Le principe de ces cosmétiques est de supprimer les emballages ou d’utiliser un emballage réduit et biodégradable. Ces cosmétiques solides ont tout bon car ils permettent d’éviter les composants toxiques comme les silicones, sulfates, parabens, tensioactifs agressifs et sels d'aluminium... 

On privilégiera des marques françaises et vegan comme Lamazuna ou Pachamamaï . 

Au delà de l’aspect environnemental, utiliser un produit solide est pratique. En vacances, un shampoing solide est toujours plus simple à transporter qu’un shampoing liquide, susceptible d’être jeté à l’aéroport ou de couler dans vos affaires !

Choisissons nos produits de beauté en ayant conscience de l’impact écologique et éthique de la production de ces produits, et de ses éventuels effets sur la santé à long terme ! 

L’association Générations Cobayes informe les consommateurs d’une manière à la fois rigoureuse et fun. Leur guide sur les perturbateurs endocriniens peut être un bel appui dans la transition écolo.

Plus d'astuces sur le blog (Do It) For the Mermaids de Julie.


5. Faisons nos produits ménagers 


Les produits d’entretien classiques sont très agressifs pour notre peau et notre santé et sont très polluants. 

L’action des détergents ne s'arrête pas à notre évier mais, leurs pouvoirs récurants perdurent sur tout le circuit de l'eau pour aboutir dans nos océans, astiquant au passage l'ensemble des êtres vivants, faune et flore. 

On constate un impact direct sur notre santé. Certaines substances actives contenues dans beaucoup de produits d’entretien corrompent l’air ambiant et, on respire de l’air pollué.

L’exposition à certaines substances contenues dans ces produits entraine des pathologies ORL et des allergies. 

De plus, tout comme pour les cosmétiques, on n’a pas à jeter des dizaines de bidons en plastique par an.

Il est possible nettoyer son chez-soi avec de l’eau et du vinaigre blanc. Du produit vaisselle à la lessive , en passant par le produit WC, tout peut être réalisé rapidement, à moindre frais et dans le respect de l’environnement comme de notre santé. Inutile de prévoir un produit pour chaque usage : la plupart des produits nettoyants que l’on fabrique chez soi, à base de bicarbonate, de vinaigre blanc ou de citron sont multi-usages.

Il suffit de remonter ses manches et de trouver les bons conseils pour faire un éco-geste simple mais formidable !

Découvrons des solutions ménage bio sur le blog ÉchosVerts.


6. N'achetons pas systématiquement neuf


Pour l’achat d’un vêtement, d’un meuble, ou d’un autre équipement, notre premier réflexe est souvent de nous tourner vers du neuf. Pourtant, les possibilités d’achat d’occasion sont nombreuses, avec des sites de petites annonces comme Le Bon Coin ou des sites et plateformes de troc de tout type de biens. 

Acheter d’occasion permet de réduire l’impact écologique par rapport au neuf car on réutilise un bien déjà acheté au lieu d’encourager la production de nouveaux objets.

Côté vêtements, en plus d’être plus économiques, les friperies et vides dressing peuvent receler de véritables pièces uniques et originales

7. Apprenons à lire les étiquettes


Il est important d’apprendre à reconnaître les composants d’un produit et de savoir dans quelle mesure ils seraient nocifs pour la santé et l’environnement. Cela vaut aussi bien pour l’alimentaire que les cosmétiques : connaître la composition d’un produit, c’est mieux choisir pour sa santé et l’environnement, ne pas s’empoisonner ni polluer la nature.

Plus la liste est courte et mieux c’est. Ensuite, il faut apprendre à repérer certains éléments qui sont vraiment à proscrire.

Il existe des applications comme Noteo, qui permet de scanner les codes-barres de vos articles afin d’en découvrir les secrets et l’impact écologique (les produits sont notés selon quatre critères : santé, environnement, social/éthique et budget). Le tout, c’est d’acquérir le réflexe de vérification et de se forger de nouvelles habitudes. 

8. Réduisons notre consommation énergétique


Cela peut passer par l’extinction des appareils ménagers laissés en veille, ou par veiller à ce que l’électroménager utilisé ne soit pas trop gourmand. Avoir le réflexe, quand on achète du neuf, de regarder la meilleure option en terme de consommation énergétique est déjà un geste utile.

Éviter d’installer son réfrigérateur à côté d'une source de chaleur et dégivrer son frigo régulièrement. Un appareil givré consomme beaucoup plus d'électricité, on peut voir sa consommation augmenter de 30 %. 

Si la consommation énergétique des ménages ne cesse d'augmenter, celle liée à l'usage d'Internet va devenir de plus en plus significative. 

En plus de consommer de l'électricité juste en étant allumés, tablettes, ordinateurs et smartphones vont en utiliser davantage lors des visites de diverses pages web.

La consommation énergétique va varier selon différents paramètres : l'appareil utilisé (l'ordinateur consomme davantage que les tablettes et les smartphones) , le navigateur employé (Chrome, le plus énergivore est aussi le plus utilisé) ; les sites visités (plus ou moins d'images, de vidéos, d'affichages publicitaires, …). 

Aujourd'hui, il est possible de mesurer la consommation énergétique d'un site. Un classement de plusieurs sites français est disponible. 

En tant qu'internautes nous pouvons limiter la consommation énergétique du web en quelques gestes simples : 

- éteindre les appareils reliés à Internet lorsqu'ils ne sont pas utilisés (la nuit notamment),

- réduire l'usage des clouds qui permettent de stocker en ligne,

- nettoyer régulièrement ses boîtes mail,

- ne pas regarder la télévision via des sites web

Plus d’infos sur notre planète info.

9. Améliorons notre utilisation des moteurs de recherche


Seulement en tapant l’adresse d’un site que l’on connaît déjà dans la barre d’adresse, on économise beaucoup d’énergie au niveau des serveurs. Deux recherches dépensent autant d’énergie que de faire chauffer une bouilloire.

Vous pouvez par exemple utiliser un moteur de recherche éthique et écologique comme Ecosia : cette entreprise compense l’empreinte carbone de nos recherches et verse 80% de ses bénéfices à des projets de reforestation en Amazonie. Nous pouvons suivre le nombre d’arbres que nous faisons planter ! Il y a aussi le moteur de recherche Lilo qui nous permet de contribuer au financement de projets sociaux !

10. Partageons nos résolutions écologiques avec notre entourage


En parlant de nos gestes écolos et en proposant à nos proches d’adopter certaines de nos résolutions, on agit pour la planète !

➨ Passons à l'action pour la planète !

DÉROULEMENT DE L’ÉVÉNEMENT

[ESPACE REVERDY - BÂTIMENT L - UNIVERSITÉ NANTERRE]

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Mercredi 18 janvier 2017 - 18h45

L'ETAL organise une rencontre avec des intervenants ayant adopté un mode de vie zéro déchet et ne produisant quasiment plus aucun déchet.

Protéger la planète, consommer responsable, manger bio, local et de saison, en dépensant moins, c'est possible !
Venez découvrir les enjeux de cette démarche et les solutions pour appliquer le zéro déchet dans la vie de tous les jours



Un buffet zéro déchet et végétarien (végétalien friendly), accompagnera nos échanges. 

Un tirage au sort sera effectué à la fin pour gagner un kit zéro déchet d'une valeur de plus de 50€, des brosses à dents en bambou et d'autres cadeaux. Tout ce qu'il faut pour bien démarrer l'aventure de réduction des déchets !





ATTENTION - Pour chaque atelier, il est obligatoire de venir avec son contenant (bocal en verre de préférence).

Mercredi 25 janvier 2017 
18h00-18h30 : Atelier Produit vaisselle
18h45-19h15 : Atelier Lessive
18h00-19h45 : Atelier Tawashi (en autonomie)

Repartez avec votre produit vaisselle, votre lessive et votre tawashi !

Mercredi 1er février 2017 
18h-18h45 : Atelier Mascara

Ces ateliers DIY (Do It Yourself) seront l'occasion de découvrir des solutions pour minimiser ses déchets.

Repartez avec votre mascara ! 

Venez apprendre à faire vous même des produits de tous les jours, alliant zéro déchet et économies ! 


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ATTENTION PLACES LIMITÉES pour participer merci de vous inscrire !
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Petit aperçu du mode de vie zéro déchet
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Julie du blog Do It For The Mermaids

Julie a commencé, il y a quelques années à consommer autrement tout d’abord avec les fripes et les vides-greniers, une façon de consommer qui lui a paru pleine de bon sens. 
Ça a été pour elle une petite porte d’entrée vers tout un tas d’alternatives durables à nos modes de vie actuels. 
Grâce à sa démarche, elle a compris que chacun pouvait faire des actions, à son échelle, pour changer les choses, le moindre petit pas pouvant faire son effet. 
Son blog parle écologie à travers le mouvement zéro déchet entre autre, minimalisme, mode de vie végane mais aussi lifestyle et culture.

Elle participera à la rencontre du mercredi 18 janvier !

Elle animera également un atelier DIY de fabrication de lessive le mercredi 25 janvier !

Venez la rencontrer !





Mélanie du blog Une vie sans gâchis - Sempervivum



Mélanie, 27 ans, vous montre via ses petites astuces, comment elle arrive à vivre de peu en milieu urbain, en consommant de façon responsable, en économisant les ressources naturelles et surtout en bannissant de son quotidien la matière plastique qui est devenu un véritable problème environnemental, tout en étant épanouie dans sa vie personnelle.

Depuis 3 ans elle a adopté un mode de vie plus simple en réduisant au maximum les emballages inutiles, en réutilisant ce qui est réutilisable, en recyclant et en compostant ce qu'il reste.

Elle participera à la rencontre du mercredi 18 janvier !

Elle animera également un atelier DIY mascara le mercredi 1er février !

Venez la rencontrer !

uneviesansgachis.blogspot.fr
facebook.com/uneviesansgachis


Chloé du blog My Slow Life



C'est l'histoire d'une jeune femme de 26 ans, Chloé, qui entame une grosse remise en question de ses méthodes de consommation et de sa manière d'appréhender le quotidien.

Elle propose des idées pour vivre "Slow". C'est-à-dire, de la cosmétique homemade, de la slow food, des astuces zéro déchet ou encore des bons plans nature !

Elle participera à la rencontre du mercredi 18 janvier à 18h45 !

Elle animera également un atelier DIY produit vaiselle le mercredi 25 janvier !

Venez la rencontrer !

myslowlife.fr
facebook.com/myslowlifegreen/